Boîtes à frissons - Photographies de Patrick Bard / Editing. Jo Privat, grand argotier devant l'éternel, avait coutume de dire : "Les accordéonistes qui appellent leur instrument "boîte à punaise" n'ont qu'à faire le ménage entre leurs soufflets. Moi je préfère dire ma "Boîte à frissons". Des bords de Marne à Buenos Aires en passant par les faubourgs de Lille, de la Bastille à la Louisiane, en passant par le Mexique, voici donc quelques "Boîtes à frissons" et leurs propriétaires en action, en noir et blanc et en couleurs. Des figures tels que Raoul Barboza ou Jean Corti, et même Jo Privat, mais aussi des obscurs et sans grades du bout du monde. Afin qu'hommage soit rendu à l'accordéon, et aux accordéonistes.